Annoncé en fanfare comme successeur de Badou Zaki à la tête du WAC (Wydad de Casablanca الوداد البيضاوي), Hassan Benabicha, entraîneur de l'équipe nationale cadets et directeur technique de l'AS FAR, a finalement préféré se retirer avant même d'avoir pris ses fonctions.
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Hommage Aux Grands Hommes Du Wydad:
أجمل ذكرايات الوداد البيضاوي:
Maroc Sport Football - Resume et Videos
Saturday, April 24, 2010
Jet4you a opéré 59 vols depuis le 20 avril
Jet4you a opéré 59 vols depuis le 20 avril
Afin de satisfaire ses clients, Jet4you a opéré 59 vols depuis le 20 avril transportant ainsi plus de 10 000 passagers. Par ailleurs, pour acheminer les clients des tour-opérateur vers l'Europe, Jet4you a programmé 16 vols supplémentaires pour permettre aux voyageurs d'être de retour chez eux. « Pour atteindre ce résultat, toutes les équipes de la compagnie se sont mobilisées et des ressources supplémentaires importantes ont été déployées aussi bien au call center, aux différents aéroports qu'au siège de la compagnie », d'après le communiqué. A titre d'exemple, l'équipe du call center a été triplée afin d'optimiser le taux d'appels satisfaits qui a atteint la barre des 90% avec 5 935 changements de vols effectués sans frais pour ses clients
Source: Le Matin
Royal Air Maroc fusionne avec Jet4you:
Tangermed Passagers - Le nouveau port du tanger
Tangier Hotels Riads
Tangier Restaurants Guide Adresses
Afin de satisfaire ses clients, Jet4you a opéré 59 vols depuis le 20 avril transportant ainsi plus de 10 000 passagers. Par ailleurs, pour acheminer les clients des tour-opérateur vers l'Europe, Jet4you a programmé 16 vols supplémentaires pour permettre aux voyageurs d'être de retour chez eux. « Pour atteindre ce résultat, toutes les équipes de la compagnie se sont mobilisées et des ressources supplémentaires importantes ont été déployées aussi bien au call center, aux différents aéroports qu'au siège de la compagnie », d'après le communiqué. A titre d'exemple, l'équipe du call center a été triplée afin d'optimiser le taux d'appels satisfaits qui a atteint la barre des 90% avec 5 935 changements de vols effectués sans frais pour ses clients
Source: Le Matin
Royal Air Maroc fusionne avec Jet4you:
Tangermed Passagers - Le nouveau port du tanger
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Maroc et France - Partenariat en Energie
Le Maroc et la France se lient de trois accords de partenariat
Et voilà que les choses s'enchainent et prennent encore plus d'envergure avec la signature, jeudi dernier, de trois accords bilatéraux dans le domaine énergétique avec la France.
Ces accords ont été signés par Jean-Louis Borloo et son homologue Yasmina Khadra, ministre de l'Energie. Le premier est, somme toute, innovant puisqu'il porte sur la création d'une ville nouvelle pilote (Ch'rafat) dans la région de Tanger à faible consommation d'énergie. La partie française financera ce projet sous forme de don à hauteur de 521. 158 euros, au titre du Fonds d'étude et d'aide au secteur privé (FASEP) et le Maroc financera et réalisera la construction de tout ce qui est bâtiment.
La France et le Maroc :Des liens économiques et financiers:
Des études seront, donc, menées pour la réalisation d'un schéma directeur Energie dont les recommandations seront reprises dans ceux des autres villes nouvelles. Par la même occasion, les deux partenaires se sont engagés dans la mise en œuvre d'un code d'efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment. Au financement de ce projet, le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM) participera par un don de 900.000 euros au programme national d'efficacité énergétique dans le bâtiment.
Le sujet est d'une importance capitale puisque l'efficience énergétique représente un souci majeur en matière de rationalisation du train de vie de nos villes. La thématique, rappelons-le, a été fortement débattue en ce qui concerne les administrations où tout un plan d'économie d'énergie a été voué à l'échec par manque d'implication dans les bons gestes et le bon choix des techniques.
Eclairages: La régionalisation économique:
La seconde convention, signée entre l'Agence de développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique (ADEREE) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) de France, vise à développer la coopération bilatérale dans le domaine des énergies renouvelables, de l'efficacité énergétique et des technologies propres. Ce mémorandum porte, aussi, sur l'animation et l'accompagnement des politiques dans ces domaines au niveau régional ainsi que la sensibilisation aux problématiques du développement durable et des changements climatiques.
Le troisième accord, signé entre l'Office national de l'électricité (ONE) et l'Agence française de développement (AFD), porte sur le financement de la cinquième et dernière phase du programme d'électrification rurale global (PERG). Et ce à hauteur de 30 millions d'euros, amenant ainsi la participation totale de l'AFD en termes de crédits dans le secteur de l'énergie à 335 millions d'euros. L'objectif de cette convention est d'étendre la desserte électrique dans huit provinces (El Hajeb, Ifrane, Meknès, Errachidia, Khénifra, Khémisset, Kalâa Sraghna et El Jadida). Elle bénéficiera à 449 villages et 17.872 foyers pour un coût total de 534 MDH (environ 49 MEUR).
Source : Lematin
Discours de la rencontre économique franco-marocaine 2:
Et voilà que les choses s'enchainent et prennent encore plus d'envergure avec la signature, jeudi dernier, de trois accords bilatéraux dans le domaine énergétique avec la France.
Ces accords ont été signés par Jean-Louis Borloo et son homologue Yasmina Khadra, ministre de l'Energie. Le premier est, somme toute, innovant puisqu'il porte sur la création d'une ville nouvelle pilote (Ch'rafat) dans la région de Tanger à faible consommation d'énergie. La partie française financera ce projet sous forme de don à hauteur de 521. 158 euros, au titre du Fonds d'étude et d'aide au secteur privé (FASEP) et le Maroc financera et réalisera la construction de tout ce qui est bâtiment.
La France et le Maroc :Des liens économiques et financiers:
Des études seront, donc, menées pour la réalisation d'un schéma directeur Energie dont les recommandations seront reprises dans ceux des autres villes nouvelles. Par la même occasion, les deux partenaires se sont engagés dans la mise en œuvre d'un code d'efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment. Au financement de ce projet, le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM) participera par un don de 900.000 euros au programme national d'efficacité énergétique dans le bâtiment.
Le sujet est d'une importance capitale puisque l'efficience énergétique représente un souci majeur en matière de rationalisation du train de vie de nos villes. La thématique, rappelons-le, a été fortement débattue en ce qui concerne les administrations où tout un plan d'économie d'énergie a été voué à l'échec par manque d'implication dans les bons gestes et le bon choix des techniques.
Eclairages: La régionalisation économique:
La seconde convention, signée entre l'Agence de développement des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique (ADEREE) et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) de France, vise à développer la coopération bilatérale dans le domaine des énergies renouvelables, de l'efficacité énergétique et des technologies propres. Ce mémorandum porte, aussi, sur l'animation et l'accompagnement des politiques dans ces domaines au niveau régional ainsi que la sensibilisation aux problématiques du développement durable et des changements climatiques.
Le troisième accord, signé entre l'Office national de l'électricité (ONE) et l'Agence française de développement (AFD), porte sur le financement de la cinquième et dernière phase du programme d'électrification rurale global (PERG). Et ce à hauteur de 30 millions d'euros, amenant ainsi la participation totale de l'AFD en termes de crédits dans le secteur de l'énergie à 335 millions d'euros. L'objectif de cette convention est d'étendre la desserte électrique dans huit provinces (El Hajeb, Ifrane, Meknès, Errachidia, Khénifra, Khémisset, Kalâa Sraghna et El Jadida). Elle bénéficiera à 449 villages et 17.872 foyers pour un coût total de 534 MDH (environ 49 MEUR).
Source : Lematin
Discours de la rencontre économique franco-marocaine 2:
Maladies du Polution de l'environement au Villes du Maroc
Des maladies dues à la pollution toujours en hausse. Elles représentent une grosse part de la morbidité au niveau national.
Contrôle de l’urbanisation: Un défi majeur
PLUS les villes grandissent, plus les défis environnementaux se posent avec acuité. Conscient de cela, le Maroc a, depuis quelques années, mis en œuvre une batterie de programmes sanitaires. Et ce, afin de diminuer progressivement les effets de l’urbanisation sur la santé.
VEOLIA Environnement - La chronique scientifique - N° 8 : santé et environnement:
Et ce n’est pas vain, puisqu’en effet, les maladies liées à l’environnement ont représenté, en 2006, 20% de la morbidité au niveau national. «D’où l’intérêt de faire de la protection de l’environnement un engagement de tous les acteurs notamment les professionnels de la santé», a assuré Yasmina Baddou, ministre de la Santé lors d’une conférence tenue mardi dernier à Rabat à l’occasion de la journée de la terre.
Les programmes sanitaires entrepris par le Maroc visent à maîtriser les facteurs environnementaux établis comme des déterminants importants de la santé tels que l’eau de boisson et de baignade, l’air ambiant, certaines espèces de la faune véhiculant les maladies vectorielles comme les moustiques, les rongeurs, etc. Ces programmes concernent la salubrité de l’environnement, le contrôle sanitaire des eaux de l’assainissement, l’hygiène alimentaire, la lutte contre les vecteurs et la gestion des déchets hospitaliers.
A cet effet, chaque année, plus de 300.000 contrôles sanitaires sont effectués par le département de la Santé. De même, un programme visant le maintien d’une bonne qualité de l’eau d’une enveloppe de 16 millions de DH à été mis en place. Pour accompagner concrètement cette lutte contre les effets néfastes, le Maroc a lancé et réalisé des projets de stations d’épuration des eaux usées et de décharges contrôlées sans oublier la mise en place de l’Office national de la sécurité alimentaire.
Ces efforts ont permis le recul de maladies comme le paludisme ou encore la tïphoïde. Cependant, d’autres maladies, essentiellement liées à la prolifération de certaines espèces, sont en hausse comme la leishmaniose et les cas de TIAC (Toxi-infections alimentaires collectives) dont le nombre a été estimé à 1.600 cas en 2006.
Reste que les programmes pour la lutte contre la pollution ne suffisent pas, la surveillance et le suivi des indicateurs sont aussi nécessaire. Parmi ces indicateurs, figurent le m² d’espace vert par habitant ou encore les études d’impact sur l’environnement (EIE).
Ces dernières consistent à circonscrire les changements positifs ou négatifs, provoqués par des projets ou des mesures avant leur mise en œuvre afin de prévenir des dégâts irréparables.
D’où l’intérêt particulier à porter à l’environnement scolaire. Selon des études scientifiques, l’école insalubre constitue une source de maladies respiratoires notamment. C’est d’ailleurs le cas particulièrement en milieu rural où les installations sanitaires sont déplorables ou même inexistantes.
B. A. I. L'économiste
Cette vidéo nous montre à quel point la ville, les employés de lOCP, et les habitants del Jadida souffrent de la pollution et des émissions du CO2:
Contrôle de l’urbanisation: Un défi majeur
PLUS les villes grandissent, plus les défis environnementaux se posent avec acuité. Conscient de cela, le Maroc a, depuis quelques années, mis en œuvre une batterie de programmes sanitaires. Et ce, afin de diminuer progressivement les effets de l’urbanisation sur la santé.
VEOLIA Environnement - La chronique scientifique - N° 8 : santé et environnement:
Et ce n’est pas vain, puisqu’en effet, les maladies liées à l’environnement ont représenté, en 2006, 20% de la morbidité au niveau national. «D’où l’intérêt de faire de la protection de l’environnement un engagement de tous les acteurs notamment les professionnels de la santé», a assuré Yasmina Baddou, ministre de la Santé lors d’une conférence tenue mardi dernier à Rabat à l’occasion de la journée de la terre.
Les programmes sanitaires entrepris par le Maroc visent à maîtriser les facteurs environnementaux établis comme des déterminants importants de la santé tels que l’eau de boisson et de baignade, l’air ambiant, certaines espèces de la faune véhiculant les maladies vectorielles comme les moustiques, les rongeurs, etc. Ces programmes concernent la salubrité de l’environnement, le contrôle sanitaire des eaux de l’assainissement, l’hygiène alimentaire, la lutte contre les vecteurs et la gestion des déchets hospitaliers.
A cet effet, chaque année, plus de 300.000 contrôles sanitaires sont effectués par le département de la Santé. De même, un programme visant le maintien d’une bonne qualité de l’eau d’une enveloppe de 16 millions de DH à été mis en place. Pour accompagner concrètement cette lutte contre les effets néfastes, le Maroc a lancé et réalisé des projets de stations d’épuration des eaux usées et de décharges contrôlées sans oublier la mise en place de l’Office national de la sécurité alimentaire.
Ces efforts ont permis le recul de maladies comme le paludisme ou encore la tïphoïde. Cependant, d’autres maladies, essentiellement liées à la prolifération de certaines espèces, sont en hausse comme la leishmaniose et les cas de TIAC (Toxi-infections alimentaires collectives) dont le nombre a été estimé à 1.600 cas en 2006.
Reste que les programmes pour la lutte contre la pollution ne suffisent pas, la surveillance et le suivi des indicateurs sont aussi nécessaire. Parmi ces indicateurs, figurent le m² d’espace vert par habitant ou encore les études d’impact sur l’environnement (EIE).
Ces dernières consistent à circonscrire les changements positifs ou négatifs, provoqués par des projets ou des mesures avant leur mise en œuvre afin de prévenir des dégâts irréparables.
D’où l’intérêt particulier à porter à l’environnement scolaire. Selon des études scientifiques, l’école insalubre constitue une source de maladies respiratoires notamment. C’est d’ailleurs le cas particulièrement en milieu rural où les installations sanitaires sont déplorables ou même inexistantes.
B. A. I. L'économiste
Cette vidéo nous montre à quel point la ville, les employés de lOCP, et les habitants del Jadida souffrent de la pollution et des émissions du CO2:
Incident du Royal Air Maroc B737 near Libreville
A Royal Air Maroc Boeing 737-700, flight AT-538 from Libreville (Gabon) to Malabo (Equatorial Guinea) and further on to Casablanca (Morocco), departed Libreville for Malabo when the cabin crew informed passengers bound for Casablanca and further on to Europe about the restrictions on European flights because of the Icelandic volcano ash clouds. A male passenger bound for France got enraged and became very aggressive towards the cabin crew. Following landing in Malabo security forces attended the airplane but refused the enraged passenger to disembark. The crew was subsequently forced to subdue and restrain the man.
The airplane departed Malabo again with the passenger and now with a delay of 8 hours. The crew was able to control the passenger until landing in Casablanca, where police arrested the passenger. The passenger faces court charges.
Source: The Aviation Herald.
Royal Air Maroc 737-400 Schiphol BirdStrike Near-Crash June 6 2010. 720P HD:
Royal Air Maroc crash Noodlanding هبوط إضطراري لطائرة مغربية :
video marocain voir videos du Maroc Forums Maroc - Annoncer au maroc gratuit
The airplane departed Malabo again with the passenger and now with a delay of 8 hours. The crew was able to control the passenger until landing in Casablanca, where police arrested the passenger. The passenger faces court charges.
Source: The Aviation Herald.
Royal Air Maroc 737-400 Schiphol BirdStrike Near-Crash June 6 2010. 720P HD:
Royal Air Maroc crash Noodlanding هبوط إضطراري لطائرة مغربية :
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Plateforme industrielle 344 ha pour le Gharb à Kénitra
· L’investissement estimé à plus d’un milliard de DH
A côté de l’activité agricole, la région du Gharb ambitionne de devenir également un pôle industriel de référence. Pour ce faire, il faut créer un environnement favorable pour attirer et faciliter l’installation des investisseurs locaux et étrangers. Dans ce cadre, la région sera dotée d’une plateforme industrielle intégrée de nouvelle génération (P2I) qui figure parmi les 22 zones prévues par le Pacte national pour l’émergence industrielle dédié à la promotion des nouveaux métiers mondiaux du Maroc.
«Cette plateforme offrira aux investisseurs un package qui inclut l’ensemble des facteurs de la compétitivité, notamment les infrastructures d’accueil, des services de qualité et un cadre incitatif», précise Jamal Attari, directeur du Centre régional d’investissement (CRI) du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Pour atteindre cet objectif, il faut mobiliser un investissement de plus d’un milliard de DH pour aménager un site d’une superficie totale de 344 ha, situé dans la périphérie de Kénitra.
Le Fonds Hassan II pour le développement économique et social contribuera au financement des infrastructures hors site dans la limite de 70 millions de dirhams. Le projet permettra la création de 15.000 emplois directs et 20.000 emplois indirects. Comme la ville de Tanger, cette plateforme se distinguera par une zone franche d’exportation sur 198 ha dédiée à certaines activités industrielles.
Il s’agit de l’agro-industrie, textile et cuir, industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques incluant l’activité automobile, sans oublier les industries chimiques et para-chimiques. Le reste de la plateforme (146 ha) sera réservé à l’aménagement d’une zone libre qui sera à vocation généraliste pour d’autres activités industrielles. Au menu également, la logistique et les services liés à l’industrie.
Le projet sera réalisé en deux tranches. Une première qui porte sur une superficie d’environ 192 ha, dont l’achèvement est prévu au 3e trimestre 2011. La deuxième sera aménagée sur une superficie d’environ 152 ha. Les travaux dans cette deuxième tranche vont commencer une fois que la commercialisation de la 1re tranche atteindra un taux de 70%.
Le lancement de cette tranche est prévu au 3e trimestre 2013 et elle sera achevée début 2015. Le programme d’aménagement prévoit des lots de terrains équipés, des unités prêtes à l’emploi et des plateaux de bureaux. Et aussi une cité de l’électronique avec une zone high-tech. Au menu également, un parc logistique et une zone dédiée aux services administratifs et des équipements publics et de proximité.
Pour sa part, l’Etat s’engage à mettre en place un guichet unique pour accompagner et faciliter l’installation des entreprises.
Selon une source du CRI, le projet sera réalisé par l’entreprise Atlantic Free Zone Investment (AFZI), société de droit marocain.
Elle sera constituée par un groupement comprenant CDG Développement et la société Edonia World, société espagnole. AFZI prendra en charge l’aménagement, le développement, la promotion, la commercialisation et la gestion de la plateforme industrielle intégrée de Kénitra.
Source: Nour Eddine EL AISSI - L'Economiste
القنيطرة لؤلؤة الغرب la ville de Kénitra , Maroc:
Forums Maroc - Annoncer au maroc gratuit video marocain voir videos du Maroc
A côté de l’activité agricole, la région du Gharb ambitionne de devenir également un pôle industriel de référence. Pour ce faire, il faut créer un environnement favorable pour attirer et faciliter l’installation des investisseurs locaux et étrangers. Dans ce cadre, la région sera dotée d’une plateforme industrielle intégrée de nouvelle génération (P2I) qui figure parmi les 22 zones prévues par le Pacte national pour l’émergence industrielle dédié à la promotion des nouveaux métiers mondiaux du Maroc.
«Cette plateforme offrira aux investisseurs un package qui inclut l’ensemble des facteurs de la compétitivité, notamment les infrastructures d’accueil, des services de qualité et un cadre incitatif», précise Jamal Attari, directeur du Centre régional d’investissement (CRI) du Gharb-Chrarda-Beni Hssen. Pour atteindre cet objectif, il faut mobiliser un investissement de plus d’un milliard de DH pour aménager un site d’une superficie totale de 344 ha, situé dans la périphérie de Kénitra.
Le Fonds Hassan II pour le développement économique et social contribuera au financement des infrastructures hors site dans la limite de 70 millions de dirhams. Le projet permettra la création de 15.000 emplois directs et 20.000 emplois indirects. Comme la ville de Tanger, cette plateforme se distinguera par une zone franche d’exportation sur 198 ha dédiée à certaines activités industrielles.
Il s’agit de l’agro-industrie, textile et cuir, industries métallurgiques, mécaniques, électriques et électroniques incluant l’activité automobile, sans oublier les industries chimiques et para-chimiques. Le reste de la plateforme (146 ha) sera réservé à l’aménagement d’une zone libre qui sera à vocation généraliste pour d’autres activités industrielles. Au menu également, la logistique et les services liés à l’industrie.
Le projet sera réalisé en deux tranches. Une première qui porte sur une superficie d’environ 192 ha, dont l’achèvement est prévu au 3e trimestre 2011. La deuxième sera aménagée sur une superficie d’environ 152 ha. Les travaux dans cette deuxième tranche vont commencer une fois que la commercialisation de la 1re tranche atteindra un taux de 70%.
Le lancement de cette tranche est prévu au 3e trimestre 2013 et elle sera achevée début 2015. Le programme d’aménagement prévoit des lots de terrains équipés, des unités prêtes à l’emploi et des plateaux de bureaux. Et aussi une cité de l’électronique avec une zone high-tech. Au menu également, un parc logistique et une zone dédiée aux services administratifs et des équipements publics et de proximité.
Pour sa part, l’Etat s’engage à mettre en place un guichet unique pour accompagner et faciliter l’installation des entreprises.
Selon une source du CRI, le projet sera réalisé par l’entreprise Atlantic Free Zone Investment (AFZI), société de droit marocain.
Elle sera constituée par un groupement comprenant CDG Développement et la société Edonia World, société espagnole. AFZI prendra en charge l’aménagement, le développement, la promotion, la commercialisation et la gestion de la plateforme industrielle intégrée de Kénitra.
Source: Nour Eddine EL AISSI - L'Economiste
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